Baby Dy, Gyzel Schatzi, Ghost Elektra, Sciatique… Découvrez cinq talents de la scène drag sur les réseaux sociaux.
Drag Queen n°1 : Sciatique
Drag-queen aujourd’hui indépendante, Sciatique se lance sur la scène parisienne en janvier 2019, sous la tutelle de sa drag-mother, Scolyose. Née d’un coup de rouge à lèvres malheureux, elle se démarque rapidement de ses consœurs et illumine, depuis, les soirées dans les établissements LGBTQI+ de Paris.
Drag Queen n°2 : Baby Dy
Baby Dy s’est lancé sur la scène drag au lendemain de la marche des fiertés, en juillet 2019. Au rythme de ses shows, il s’est fait une place dans le milieu des créatures et est aujourd’hui bien intégrée. “Baby Dy sait être une femme raffiné classe des années 60 comme une petite tchoin de la pop le cul à l’air. Mon but étant de me rapprocher du style de gaga et des années 60/80.”, confie l’artiste à propos de son personnage.
Drag-Queen n°3 : Ghost Elektra
Drag-queen indépendante, Ghost Elektra est née du succès de Lenny Cartwight, de la Tech Noire et de la Night Shift. Entre Paris, Berlin et New York, elle se fait rapidement un nom et est, aujourd’hui, très suivie sur les réseaux sociaux. “Ghost Elektra à l’âme sombre et le sang chaud. Elle s’inspire des classiques tech noire et de science-fiction comme Blade Runner, Ghost in the Shell et Matrix. Mélangeant son amour de la mode et la haute couture avec son goût pour le bondage et le fétichisme, son esthétique est sensuelle, sombre et edgy.”, explique l’artiste.
Drag Queen n°4 : Mado Lamotte
Mado Lamotte fait ses débuts dans les bars de Montréal, 33 ans plus tôt. En bonne “danseuse à gogo”, elle anime les lieux mondains, crée ses spectacles et se produit dans les grands festivals. “Mado Lamotte est un personnage haut en couleurs, une excentrique extravagante, une star de la scène et une bitch sympathique. Mado, c’est la grande classe ! Je l’avoue humblement, mais je suis probablement la drag-queen avec la plus grosse collection de vêtements, perruques, souliers et bijoux”, confie la créature.
Drag-Queen n°5 : Gyzel Schatzi
Gyzel Schatzi se lance dans le transformisme au lendemain de son premier show à Québec, 19 ans plus tôt. Rapidement, elle élève son personnage au rythme de ses looks et shows et des conseils de sa famille de spectacle. “Gyzel a un goût prononcé pour la mode, le luxe et le fashion. Contrairement à beaucoup d’artistes-transformistes, je suis la même personne en drag et dans la vie de tous les jours, et non un personnage.”, confie l’artiste. Aujourd’hui, il partage son art entre Paris, Québec et Mykonos.